Oui, je sais dans le conte, il n'y en a que 3 des petits cochons, mais que voulez-vous, vous êtes ici chez le Virus et il ne fait rien comme les autres ...

Dans le compte, il est question de 3 pauvres petits cochons poursuivis par le grand méchant loup qui veut les manger !

Mais quand on y regarde de près, le loup il n'est pas si méchant puisqu'il ne cherche qu'à répondre à un besoin vital, à savoir : manger.

Ben, oui, vous êtes toujours chez le Virus, et il continue à ne pas faire comme tout le monde.

Donc nous allons revisiter ce petit conte !

Et c'est le Virus qui va jouer le rôle du loup !

Ah ! Bah, enfin !

Y'en a un seul qui suit !

Bravo donc à Comdhab, qui, j'en suis sûr est le seul à avoir remarqué que nous étions en plein PCF !

Tu vois mon Comdhab, il suffit d'être patient, pour pouvoir te tordre de rire au dépends du Virus.

Donc le Virus, comme à chaque fois qu'il a le coeur en miette, cherche par tous les moyens à se prouver qu'il ne mérite pas d'être aimé et s'efforce de plonger dans une déprave totale, dont il ressort pas fier du tout, mais au moins il a l'impression d'être encore en vie.

Me voilà donc, chassant dans les coins spécialisés du Narbonnais où qu'on trouve des garçons (ce sont plus souvent des messieurs, mais bon, quand on décide de jouer ce genre de jeu, on le joue à fond, donc on est pas regardant) qui aiment à tripoter les autres garçons.

Tout commença par un premier petit cochon, qui n'avait qu'une envie, gouter la quequette du Virus.

Qu'à cela ne tienne, sers-toi donc !

Plutôt doué, mais pas très endurant, il s'effaça après quelques minutes, malheureusement pas assez vite, puisque que le beau garçon à qui j'avais fait des signes pour qu'il s'approche et qui n'avait pas osé s'approcher, avait repris sa voiture et filé.

Le Virus était donc resté sur sa faim (ben oui, je suis le loup dans cette histoire ...).

Comme il n'y avait pas foule, je décidais de changer donc de coin.

Juste avant de reprendre ma voiture, on me fit un signe depuis une camionnette. Je m'approchais donc.

Lorsque la portière s'ouvrit, je viens un deuxième petit cochon, dont le pantalon avait glissé à ses chevilles et dont le machin était tout mou et mal rasé (quitte à débrouissailler autant que ça soit bien fait au moins), il ne lui fallut pas longtemps pour sortir mademoiselle et s'amuser avec.

Il mourrait d'envie d'y gouter, mais avant chaque plongé en apné, c'était vérification dans tous les sens qu'il n'y avait personne aux alentours, pliage en douze pour se pencher et léchouiller mademoiselle.

Mais le deuxième petit cochon, après 3 léchouillages baclés se rappela soudain qu'il avait un rendez-vous et partu en vitesse.

Le Virus était toujours sur sa faim !

Et je reprennais ma voiture pour changer de coin.

Là, mademoiselle fût happée par une toison blanche (celle du troisième petit cochon, je précise pour ceux qui ne suivrait plus ! Parce qu'après tout c'est quand même une information importante !) carrément douée !

Trop inquiet du passage alentours (ben ! quand on joue dans ce genre de lieux, faut passer outre la pudeur et accepter de devenir un star du porno en pleine nature ! Star limitée, certes, vu que t'es pas payé et que t'as pas non plus ton nom inscrit en lettre de lumière sur des affiches 4x3), il ne resista que quelques minutes avant de partir (c'est con, il était doué).

J'étais encore sur ma faim !

J'allais rentré, frustré, mais lorsque j'arrivais à ma voiture, arriva le quatrième petit cochon, qui s'affaira avec grand soin sur mademoiselle.

Lui, je lui faisait un de ces effets, il ne lui fallut pas très longtemps pour atteindre la petit mort.

Et moi je restais encore sur ma faim !

Mais bon, les lieux étant déserts, je rentrais.

Et le cinquième petit cochon me direz-vous !

Ben, c'est une autre histoire que je vous raconterai peut être plus tard.

Mais j'espère bien que d'ici là, je croiserai le sixième petit cochon et que cette fois, je repartirai rassasié ...