Dommage que je n'ai pas eu la chance de croiser celui-là !

Il n'y a pas qu'en province que les gays se donnent rendez-vous pour dragouiller (même si de belles histoires ont surement du naître de ce genre de rencontre, "lieux de baise" serait plus approprié).

En général, ces lieux sont souvent des bois, des aires de repos sur les routes, ...

J'avais eu l'occasion de tester plusieurs fois, des séances coquines en extérieur et je dois bien avouer que le confort inexistant n'est compensé que si le beau temps est de la partie.

Je ne vous ferai pas la leçon sur l'excitation qui s'emballe du fait des possibilités de se faire surprendre qui sont assez fortes dans ce genre de points de rencontres.

Bref, j'avais donc appris qu'il y avait un de ces endroits à quelques kilomètres de chez mes parents, et vous me connaissez, ne voulant pas mourir trop idiot, j'ai donc décidé de tester.

En bon journaliste consciencieux, j'y suis donc aller à plusieurs heures et jours différents.

Lors de mon premier essai, lorsque je suis arrivé, il y avait deux voitures garées, leurs conducteurs installés au volant.

Ne connaissant pas les us et coutumes du lieu, je me suis donc garé et suis resté dans ma voiture.

Soudain, le conducteur d'une des voitures est sorti de son véhicule (quelques secondes après que je me sois arrêté) puis après m'avoir regardé, s'est enfoncé doucement dans les bosquets.

J'en ai déduit que je ne lui étais pas indifférent et qu'il me fallait faire de même.

En effet, il m'attendait dans un endroit discret.

A peine m'étais-je approché en lui adressant un "bonjour", que celui-ci me répondit par un "bonjour" accompagné d'attouchements qui ne laissaient aucun doute sur l'effet que je lui faisais.

C'est ainsi que j'ai pu gouter pour la première fois la quéquette d'un roux.

Il était un peu tendu du fait que d'autres garçons étaient arrivés entre temps et se baladaient alentour et a donc assez rapidement mis fin à ce qui s'annonçait au demeurant plutôt sympathique.

Personnellement, je ne comprends pas ce genre d'attitude, lorsque l'on décide de s'aventurer dans ce genre de lieux on se doit de jouer le jeu, ou alors on n'y va pas.

Mademoiselle n'ayant pas eu son content, elle a donc subit par la suite les assauts bucaux de quelques bouches qui passaient par là.

J'ai même eu le droit, alors qu'une bouche s'appliquait à lui donner quelques soins agréables, qu'une deuxième qui passait non loin, viennent également se mettre à sa hauteur, lui permettant de profiter alternativement de deux sources d'humidité.

Mon sexe à pile a du reprendre de sa superbe, vu que les prétendants à la lubrification linguale de mademoiselle se sont montré plutôt nombreux (ben, oui, je joue le jeu et ne suis pas élitiste).

Il y a même eu un garçon un peu plus agé que moi qui aurait bien aimé profiter de mademoiselle d'une autre façon, mais comme nous n'avions ni l'un ni l'autre de capuchon plastifié, il est reparti plein de regrets, après que nous ayons discuté (non, il ne parlait pas la bouche pleine, nous avons parlé après qu'il abandonne de fatigue, mademoiselle aimant à se faire cajoler, ayant tendance à ne pas laisser monter le signal de fin).

C'est ainsi que j'ai appris l’existence d'un autre lieu.

Avant de tester cet autre lieu, j'avais lors d'une de mes visites et alors que j'étais assis au volant de ma voiture, eu un garçon pas mal qui m'avait carrément abordé, et qui m'assurant qu'il avait capote et gel, avait obtenu mon accord pour une visite en profondeur de deux de ses cavités anatomiques.

Une fois, sa soif buccale assouvie, il se mis en position pour subir les assauts de mademoiselle.

Je lui demandai donc d'habiller sa seigneurie pour l'occasion.

"Caresses-moi d'abord avec ton gland" me répondit-il !

Je m'exécutais, il arriva par un habile mouvement à obtenir que mademoiselle entre la tête dans l'orifice à sa disposition.

Je réitérais donc ma demande d'enfiler une combinaison de plongée.

De nouveau, il repoussa l'essayage vestimentaire par une envie de sentir mon gland inciter l'ouverture de l'entrée des artistes.

Pris dans son excitation, il lança sans s'en rendre compte, le mot de la fin "je veux sentir ton sperme chaud couler en moi ! ".

Mademoiselle ayant compris que jamais elle ne porterait capote avec ce partenaire, s'effondra à un point de non retour qui mis fin au jeu.

Je vous passerai l'épisode de l'excité au faciès qui faisait peur, qui me fit des grands gestes pour que je viennes à sa rencontre alors qu'il était encore dans son véhicule, et que je devais tellement excité qu'à chacune de mes réponses, il semblait pris de spasmes tels que l'on peut en ressentir lorsque la petite mort vous arrive ...

Bref, cette aire de repos donna à mademoiselle l'occasion de se sentir au chaud à plusieurs reprises.

Trop consciencieux que je suis, il me fallait découvrir l'autre lieu dont on m'avait parlé, et je décidais donc de profiter d'un autre moment de liberté pour aller découvrir ce nouvel endroit, mais ça je vous le raconterai plus tard ...