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Quand je me fais des américains à la basque ...
Histoire de vous faire patienter le temps que je finalise ma série "papa immoral", je vous propose un petit passage torride par un de mes vices favori.
Parce que figurez-vous que quand j'ai envie de me faire des petits américains, je ne file pas chez Picard ou dans n'importe quel supermarché, ni même chez Mac Do, je me fais ça tranquille à la maison.
Sauf que moi les petits américains, je me les fais à la basque !
Alors prenez des notes et c'est parti.
Déjà, je commence par prendre des filets de poulets que je coupe en morceaux irréguliers (ça c'est parce qu'après faut jouer au Tétris, mais vous comprendrez plus tard !).
Puis, je prépare les bains dans lesquels je vais plonger mes futures victimes.
Mon petit secret c'est de rajouter à la chapelure
du piment d'Espelette à droite
et du piment doux à gauche
Une fois mélangé ça donne ça
Après un premier bain dans les oeufs battus,
je les plonge dans la chapelure pigmentée à la basque
Et c'est à ce moment là qu'entre en jeu mes incroyables et fabuleuses compétences en Tétris, parce qu'il faut faire tenir tous ces petits américano-basques dans une poele ronde !
Parce que c'est vous, je vous donne mon truc infaillible pour pas les brûler et qu'ils soient cuits jusqu'au plus dedans tout en restant moelleux dedans et croustillants dehors !
Un peu d'huile mais pas trop et surtout, un feu tout doux doux, pour que ça cuise lentement.
Et une fois cuits de chaque côté, y'a plus qu'à déguster.
Enjoy, mes chéris !
Et promis, demain, un nouvel épisode de "Le Virus est un papa immoral" ! (promesse pas difficile à tenir, vu que le prochain épisode est déjà rédigé et programmé ! lol ! Oui je sais je suis un tortionnaire même pour vous, mais bon, vous aimez ça et puis faut pas oublier que je suis le king des rois du suce pense à deux balles ! Va falloir que j'augmente mes prix pour suivre l'inflation à un moment donné).
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Epidémiologie
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et en plus
et je signe.
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Je lance le manifeste pour l’égaylité, alors si tu es d’accord avec moi colle ce manifeste sur ton blog.
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Je suis citoyen français, citoyen européen et citoyen du monde et je ne demande qu’à avoir les droits et les devoirs auxquels j’ai le droit de prétendre. Ma culture est française et j’aime les garçons.
Pour moi, le fait d’aimer les garçons n’est pas un choix, c’est un goût au même titre que j’aime les bons vins, certains films ou certains livres.
Je ne me considère pas différent d’un hétéro, je n’ai juste pas le même goût que lui en matière de partenaire sexuel.
Or, lorsque l’on met en avant une CULTURE GAY (qui a parfaitement le droit d’exister au même titre que n’importe quel courant artistique comme la culture punk, gothique ou autres …) comme l’unique CULTURE qui représente ce que sont tous les gays, je m’insurge. Car on confond tout.
Je ne veux pas d’un droit à la différence, je ne suis pas différent de tout autre être humain. Je veux un droit à la l’indifférence, c'est-à-dire pouvoir tenir la main d’un garçon ou l’embrasser dans la rue sans être regardé comme un extra-terrestre, c'est-à-dire vivre ma vie comme je l’entends sans avoir à crier sur les toits que je préfère les garçons.
Je ne veux pas être considéré comme faisant partie d’une minorité, je veux juste être considéré pour ce que je suis, c'est-à-dire un homme, un citoyen, ma préférence sexuelle ne faisant pas de moi ce que je suis elle n’a pas à me différencier de tout autre homme, et c’est à ce titre que je dois avoir le droit de pouvoir me marier, adopter …
Certes, les associations ont utilisé la provocation afin que l’on puisse se faire entendre et c’était le seul moyen pour y arriver, mais aujourd’hui, à ce que je sache on a le droit à la parole, alors autant l’utiliser pour se faire entendre.
Alors que le combat se pose sur la défense de nos droits à être considéré comme les autres et non plus à nous différencier, car en cherchant à marquer une différence, on s’auto-guettoïse, on se colle une étiquette qui n’est que perche tendue à ceux qui nous haïssent justement parce que l’on est différent d’eux, comme si la préférence sexuelle était le seul critère qui fait qu’on est normal alors que c’est encore le plus tabou des sujets.
Oui, je suis gay et non je me reconnais pas dans le discours des associations de défenses des droits des gays. Le monde a changé, on peut aujourd’hui ouvertement parler pour défendre nos droits, alors ne gâchons pas nos chances en se positionnant sur un vecteur d’image qui ne fait que renforcer le naturel de l’homme à savoir la peur de ce qui est différent.
Ils adhèrent ou en parlent
N'hésitez pas à me signaler
ceux que vous trouverez
pour que je les rajoute ici.
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