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La suite du programme ...
Et si nous reprenions là où nous nous étions arrêtés ?
Parce que je sais bien que vous trépignez d'impatience que je vous raconte la suite de mes vacances ...
Mais j'y pense, il va encore falloir que je ménage le suspens vu que "hier" (à la date où se post va sortir, parce que là maintenant quand j'écris, c'est pour demain) il a du y avoir une blogobouffe (en fait, je trouve ça plutôt cool de préparer les posts à l'avance, ça me permet de vous obliger à faire travailler vos neurones pour comprendre la notion de temps, ce qui fait de moi un sauveur de l'humanité vu que je vous aide à faire reculer vos alzheimers).
Donc, je dois vous narrer mes aventures Angevines.
C'est donc de bon matin que je quittais Bordeaux et mon Poussinet d'amour chéri, pour avancer un peu plus vers la capitale et faire une halte à Angers.
Vu les folies bordelaises que vous ne connaissez pas encore (mais ça viendra ! Je vous ai toujours dit que le plus dur c'était de ne pas savoir ! Vous me comprenez maintenant ?), le Virus fut pris d'un méchant coup de barre sur la route et comme c'est un garçon prudent, il fit une pause sur un parking de station service, allongea son siège et ferma les yeux pour faire une micro sieste.
Dix minutes plus tard, alors, qu'il avait rejoint Morphée très rapidement, il fut extirpé des limbes par la sonnerie de son téléphone portable.
Non, ce n'était pas Traileurfou impatient de le voir arrivé, juste la banque qui voulait me vendre un nouveau produit miracle qui rapporte soit disant beaucoup de sous (elle a pas vu que je n'ai plus de virement de salaire ni d'indemnité, ma GESTIONNAIRE ? Elle gère quoi au juste ?).
Bref, c'était suffisant pour me regaillardir et finir sereinement le trajet.
Malheureusement, aucune rencontre merveilleusement pourrite par la chance qui me harcèle n'est venue me donner l'occasion de vous raconter à quel point, je suis maudit ...
... et je suis donc arrivé à bon port.
Là je retrouvais un Traileurfou souriant comme à son habitude, qui avait mitonné un petit plat pour que le Virus se sustante quelques peu.
Quelques fourchettées plus tard, et quelques blablatages plus tard (oui, on a surement du dire plein de méchancetés totalement vraies sur vous, je vous rassure), ce marcheur invétéré m'a emmené visiter sa ville.
Alors là, tu as le château et là, tu as une des plus vieille maison de la ville avec sa façade classée parce que faite de jolies sculptures en bois.
Super !
Et ?
Et c'est tout !
Ah !
Bon, Angers c'est pas grand, mais c'est en pente !
Et le TraileurTraceur, qui fonce tel une ferrari à deux pattes, ben, il a totalement épuisé le Virus, qui passait son temps, à appuyer sur le frein.
Déjà que marcher vite, le Virus avec sa patte folle il a du mal, mais en pente en plus ...
Et puis, y'avait le soleil qui nous taquinait un peu, donc on a finit par s'asseoir à une terrasse de bar, en plein milieu d'une placette très sympa.
La jeune serveuse du genre "Soeur Sourire", a pris la commande.
Le Virus quand il a soif, aime à prendre une simple menthe à l'eau, ceci pour plusieurs raisons.
D'abord, parce qu'il aime ça et que c'est désaltérant et aussi parce que vu la dose de menthe qu'on te sert, tu demande une carafe d'eau pour diluer et diluer encore et tu finis par avoir une vraie ration d'eau à la taille gargantuesque des descentes fluviales du Virus.
Sauf que là, on était à Angers (bon, je dis ça, mais ce n'est peut être pas une spécialité locale, c'est peut être juste une spécialité de ce bar là !) et que la dose de menthe elle était déjà tellement diluée que fallait chercher le goût de menthe et la carafe d'eau avait du faire tout un baroufle pas possible pour rester planquée là où elle créchait, parce qu'on ne l'a jamais vu, même après l'avoir quémandé de nouveau.
Qu'à cela ne tienne, on a quand même passé un excellent moment. Blablatage et farniente sous le soleil, ça fait du bien, ça détend et ça finit par creuser un peu.
Nous avons donc cherché un petit resto pour passer une soirée en ville et avons opté pour un resto chinois où nous nous sommes régalés et où nous avons passé une excellente soirée.
De retour, à la maison du Traileurfou, avec toute cette fatigue accumulée, nous avons donc rejoint nos chambres pour y passer une nuit réparatrice qui me permis d'avoir la pêche pour faire les derniers kilomètres le lendemain matin et mettre un point final à mes vacances lorsque je serai le frein à main devant la maison.
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Commentaires
1traileurfouVendredi 10 Juin 2011 à 15:12
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Plaisir partagé