mais où allons-nous ?

Je vous le demande !

Ben ! Regarde la rubrique et devine !

Ben pardi !

Pas au bois, quoi qu'on aurait pu, mais je vous raconterai peut être ça un autre jour !

Là on va au pieux !

Non pas au piquet, au pageot !

Et en plus pour tester quelque chose de nouveau.

Vous me connaissez maintenant, vous savez que je suis du genre à ne pas vouloir mourir idiot, donc j'ai essayé quelques activités conformes à mes principes et pas dangereuses.

Et parmi ces expériences qui étaient nouvelles pour moi, j'ai eu plusieurs fois l'occasion de tester le multipartenariat !

Non, ce n'est pas l'achat d'un appartement en multipropriété !

Bon, puisqu'il faut vous mettre les points sur les "i", j'ai testé la partouze !

Plusieurs fois d'ailleurs.

C'était pendant ma période, je cherche à me persuader que je peux continuer à vivre même sans W, et donc je fais des plans à tours de bras, pour ceux qui ont tripoté mes anales.

Des fois ce fut génial, d'autre fois moins bien et une fois pas terrible, mais vu que l'on est pas au PCF, vous vous doutez bien que je vais vous raconter une fois où c'était plus que bien, même si le démarrage fût un peu surprenant et quelque peu perturbant.

Donc aux détours de mes dragues lamentables dans les supermarchés de la quéquette, je me fais héler par un superbe bogosse tout comme j'aime qui assez rapidement (dès le premier message en fait) me fait comprendre qu'il a envie d'un plan avec moi.

Vous savez à quel point je suis altruiste et que je ne supporte pas de laisser les gens dans la panade, donc je me dévoue pour offrir mon corps merveilleux à ce pauvre garçon en manque.

Echange de MSN, puis de téléphone, bref la vérification habituelle, prise de rendez-vous et me voilà sur la route en direction de l'appartement de ce que j'appellerai un canon.

J'arrive à l'appartement, le mec est encore plus beau que sur les photos et à peine la porte fermée, qu'il me roule un patin.

Nous étions dans les bras l'un de l'autre, dans une sensualité et une douceur, que j'aurais presque eu envie que ça ne s'arrête pas.

En plus, d'être beau, il est bien élevé, me propose un verre et profite de ce moment convivial pendant lequel je sirote mon verre, pour me faire des attouchements très tendre, qui laissaient présager un moment de complicité intense tout en douceur et sensualité.

Je vous rassure, on a fini dans la chambre, où nous avons continué à jouer de nos lèvres tout en s'effeuillant l'un l'autre.

Hey ! Le Virus !

Oui ?

C'est quoi ton délire ?

C'est pas un délire, c'est ma mémoire qui ramène un moment d'extase !

Non, mais tu fais une intro où tu nous parle de partouze et là t'es en plein plan cul tout comme t'aime !

Ben, si tu attendais que je finisse, tu verrais le rapport avec le couscous !

Je peux reprendre ?

Oui, oui ! Vas y ! Continue !

Après de longs prélimaires tendres, nous nous retrouvons nus, sous les draps (oui, il faisait un peu frisquet), nos corps enlacés et enflammés au point qu'aucun de nous deux ne pouvait cacher à l'autre sa furieuse envie de consommer cette union éphémère.

Nous étions dans les starting block, prêts à rendre plus torride ces contacts sensuels, lorsqu'il me demanda :

- "Comment tu me trouve ?"

J'avoue avoir été un peu étonné de la question, vu nos échanges anté-mon arrivé en ces lieux, mais je lui répondis :

- "T'es merveilleusement beau !"

Là tout s'enchaina très vite.

- "J'ai une surprise pour toi !"

- "Ah ?"

- "Oui, un autre beau mec va nous rejoindre dans quelques minutes !"

- "Euuuh !!!"

- "Ne t'inquiètes pas, il est beau comme moi et on sera deux rien que pour toi !"

Je n'ai pas eu le temps de tout comprendre, qu'un autre merveilleux garçon entra dans la chambre, il était déjà nu et se glissa près de moi sous les draps et lui aussi portait l'étendar dressé.

Vu ce qu'ils me faisaient, je n'allais pas me plaindre.

La température commença à monter sous les draps, qui ne tardèrent pas à glisser pour dévoiler nos corps à la lumière qui innondait la pièce.

J'étais aux anges, deux langues s'affairaient de chaque côté de mon corps et j'étais transpercé de merveilleuses sensations et d'un plaisir sans faille.

J'ai du me retenir plusieurs fois tellement les soins qui m'étaient prodigués m'emplissait d'un bonheur intense.

Puis l'un deux enfila un imperméable à mademoiselle et par des mouvements d'une volupté incroyable, je me retrouvais avec mademoiselle dans un étui humain.

Là, ou je fus perturbé, c'est lorsque celui qui s'amusait sur mademoiselle ouvrit la bouche pour sucer le deuxième playboy.

Un petit moment de jalousie le Virus ?

Ca aurait pu, mais non !

Ben alors, c'est quoi le souci ?

En faite, quand il m'avait dit que le nouvel arrivant était aussi beau que lui, c'est une vérité aussi bien au sens propre qu'au figuré.

Ben de quoi tu te plains ?

Oh ! Là ! Mais de rien, c'est un merveilleux souvenirs !

C'est juste que ces deux garçons étaient jumeaux.

Mais bon, je te rassure, il ne me fallut pas trop de temps pour me sortir de ma perturbitude passagère, parce que les bougres se sont excellement bien occupé de moi.

La seule chose qui était vraiment dommage, c'est ce qu'il m'avait dit avant le rendez-vous, à savoir, qu'il ne revoyait jamais un plan une deuxième fois.

Je ne sais pas pourquoi j'ai repensé à eux, mais je peux vous assurer que je me régale de mes souvenirs.