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Aidez-moi ...
Je vais vous dire un secret !
Approchez, ne soyez pas timide !
Ca ne vous interesse pas de savoir comment je trouve parfois l'inspiration d'écrire toutes ces bêtises choses ici ?
Quand le clavier me démange et que je n'ai pas d'idée qui me trotte dans la tête, il m'arrive parfois de me dire que plutôt que de faire un billet, je n'ai qu'à me lancer dans l'écriture d'un texte, qui deviendra peut être quelque chose.
Mais encore faut-il que je trouve un sujet pour me lancer.
Alors j'utilise un lien que l'un d'entre-vous avait un jour découvert et qui permet de générer des couvertures de bouquins avec des titres aléatoires.
Mais si souvenez-vous :
http://www.omerpesquer.info/untitre/
et puis après plusieurs essais il arrive qu'un titre me fasse tilt.
J'enregistre alors l'image et puis soit je commence à écrire, parce que l'idée fleurie tout de suite, soit je continue à chercher et j'attends que l'idée fleurisse plus tard.
Ce matin, j'avais ce besoin d'écrire, mais pas d'idée, pas de sujet, juste une envie d'écrire, plus qu'une envie en fait, un besoin presque vital.
Alors, je me suis lancé à la recherche de l'inspiration, j'ai d'abord fait le tour des couvertures que j'ai en stock.
Mais l'inspiration n'étant pas au développement des "concepts" que j'ai associé à ces couvertures, j'ai une fois de plus fais le jeu du hasard et les aléas des couvertures qui m'étaient proposées ont fait que je suis tombé sur ça :
et là, mes mains ont commencé à courir sur le clavier et sans même m'en apercevoir, j'ai aligné des mots, plein de mots.
Et je me suis rendu compte que j'avais commencé à écrire une histoire.
Ce n'est pas la première que je commence, puisque j'ai toujours mon roman (le journal) en cours et d'autres que vous ne connaissez pas, mais régulièrement je reviens sur ces textes et je continue ces histoires.
Un peu comme si, j'avais besoin de travailler sur plusieurs projets en même temps pour ne pas me lasser.
Vous me direz, il n'y a rien d'exceptionnel à cela, je ne suis pas le seul à avoir ce besoin d'écrire.
Certes, vous avez raison et je ne vais pas vous contredire, mais à la relecture de ce texte, je me suis retrouvé avec la même impression que lorsque j'ai commencé le journal.
Cette impression que c'est plutôt un bon début.
Non, n'allez pas croire que je me prenne pour un écrivain de talent, je me dis juste que cela peut être intéressant d'avoir votre avis.
Alors je vais vous livrer cette nouvelle histoire, de la même façon que je vous livre le journal et j'espère que vous me ferez des critiques constructives.
Autopsie des tentations - Chapitre 1
Tags : ecrire, commence, tete, idee, besoin
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Commentaires
@ Tambour :
Merci bien pour toutes ces informations dactylographiques, les miennes datant de mes cours de premières, je n'étais pas au courant que l'édition avait modifié ces règles.
Toutefois, je suis un chieur et je trouve que ces nouvelles règles (qui doivent avoir pour but dissimulé de réduire les coûts d'impression) rendent le texte illisible, tout du moins dans une version informatique, j'en resterais donc à ma bonne vieille méthode que je trouve plus buvable.
Quant aux paragraphes, si j'en fait peu, c'est toujours dans une optique de confort du visuel.
Mais je t'accorde que c'est ma perception du confort de lecture (comme la taille des caractères, par exemple).
Bon alors, j'ai lu, j'ai pô accrochu, ou très peu. Ce n'est pas très important. Du coup je m'abstiendrai de remarques de fond et me contenterai de remaques formelles.
Puisque tu demandes d'être objectif et constructif, il manque à ton texte une construction par paragraphe. Paragraphes comportant plusieurs phrases, et non pas une seule comme c'est le cas. Certes cela confère au texte son rythme. Mais c'est assez vite fatigant, surtout eu égard à la longueur du chapitre !
En outre, toujours d'un point de vue formel, il faut revoir l'utilisation des guillemets dans les dialogues.
L’usage le plus courant consiste à placer un guillemet ouvrant au début du dialogue et un guillemet fermant à la fin du dialogue. On ne sort pas des guillemets au moment des incises, sauf pour celle qui suit éventuellement la dernière réplique. Les répliques, hormis la première, sont introduites par un tiret (celui du 6).
« J’vais voir si c’est ainsi ! que je crie à Arthur, et me voici parti à m’engager, et au pas de course encore.
— T’es rien c… Ferdinand ! » qu’il me crie, lui Arthur en retour, vexé sans doute par l’effet de mon héroïsme sur tout le monde qui nous regardait.
(Céline, Voyage au bout de la nuit)Toutefois, si une réplique comporte plusieurs alinéas, les alinéas supplémentaires seront introduits par un guillemet ouvrant. L'édition a néanmoins de plus en plus tendance à supprimer les guillemets
(dixit wikipedia)
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Epidémiologie
Pandémie depuis le 11/03/2011 : 240018
Pandémie du jour : 12
Radiothérapie
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Expositions du jour : 18
Activité médicale
Malades en salle de soins : 1
Affluence maximale : 83
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et en plus
et je signe.
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Je lance le manifeste pour l’égaylité, alors si tu es d’accord avec moi colle ce manifeste sur ton blog.
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Je suis citoyen français, citoyen européen et citoyen du monde et je ne demande qu’à avoir les droits et les devoirs auxquels j’ai le droit de prétendre. Ma culture est française et j’aime les garçons.
Pour moi, le fait d’aimer les garçons n’est pas un choix, c’est un goût au même titre que j’aime les bons vins, certains films ou certains livres.
Je ne me considère pas différent d’un hétéro, je n’ai juste pas le même goût que lui en matière de partenaire sexuel.
Or, lorsque l’on met en avant une CULTURE GAY (qui a parfaitement le droit d’exister au même titre que n’importe quel courant artistique comme la culture punk, gothique ou autres …) comme l’unique CULTURE qui représente ce que sont tous les gays, je m’insurge. Car on confond tout.
Je ne veux pas d’un droit à la différence, je ne suis pas différent de tout autre être humain. Je veux un droit à la l’indifférence, c'est-à-dire pouvoir tenir la main d’un garçon ou l’embrasser dans la rue sans être regardé comme un extra-terrestre, c'est-à-dire vivre ma vie comme je l’entends sans avoir à crier sur les toits que je préfère les garçons.
Je ne veux pas être considéré comme faisant partie d’une minorité, je veux juste être considéré pour ce que je suis, c'est-à-dire un homme, un citoyen, ma préférence sexuelle ne faisant pas de moi ce que je suis elle n’a pas à me différencier de tout autre homme, et c’est à ce titre que je dois avoir le droit de pouvoir me marier, adopter …
Certes, les associations ont utilisé la provocation afin que l’on puisse se faire entendre et c’était le seul moyen pour y arriver, mais aujourd’hui, à ce que je sache on a le droit à la parole, alors autant l’utiliser pour se faire entendre.
Alors que le combat se pose sur la défense de nos droits à être considéré comme les autres et non plus à nous différencier, car en cherchant à marquer une différence, on s’auto-guettoïse, on se colle une étiquette qui n’est que perche tendue à ceux qui nous haïssent justement parce que l’on est différent d’eux, comme si la préférence sexuelle était le seul critère qui fait qu’on est normal alors que c’est encore le plus tabou des sujets.
Oui, je suis gay et non je me reconnais pas dans le discours des associations de défenses des droits des gays. Le monde a changé, on peut aujourd’hui ouvertement parler pour défendre nos droits, alors ne gâchons pas nos chances en se positionnant sur un vecteur d’image qui ne fait que renforcer le naturel de l’homme à savoir la peur de ce qui est différent.
Ils adhèrent ou en parlent
N'hésitez pas à me signaler
ceux que vous trouverez
pour que je les rajoute ici.
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@ Tambour major :
Pourtant j'utilise les règles dactylographiques que l'on m'a enseigné il y a plus de vingt piges, j'en déduit qu'il doit y avoir les règles de l'édition et celles du secrétariat