-
Cinq tapettes pour une orgie ...
N'allez pas croire que je suis un pervers (il y a longtemps qu'on est au courant ! Hein !) mais même si l'organisation de cette expérience s'est offerte à moi par hasard et qu'il m'a fallut quelques heures pour réaliser que l'opportunité se présentait, l'idée même me trotte dans la tête depuis déjà un certain temps (ce qui tend à confirmer que tu n'as plus les mêmes réflexes qu'antan).
Bref, je n'allais pas passer à côté d'une occasion pareille !
Arrivé sur le lieu des futurs excès quelques jours avant les participants, pour tout préparer et faire en sorte de pouvoir profiter de chaque instant de leur présence, j'étais donc totalement disponible pour acceuillir chacun.
Le premier arrivait par le train, j'étais donc au rendez-vous pour le récupérer à la gare.
Je croisais les doigts pour que sa non-présence ne soit pas un tour du destin, ni un signe que je dusse passer le week-end à jouer le chasseur cherchant à tuer les lapins.
Heureusement, il n'en fut rien, puisqu'à son corps défendant, il subissait lui-même les défaillances internationalement connues de ce fleuron français qu'est la SNCF.
Il finit donc par être libéré de la boite métallique qui l'avait extirpé de la grisaille parisienne pour le transporter sous le soleil du sud, ce qui me permis de lui faire découvrir, l'antre dans laquelle nous allions tout un week-end durant, perpétrer orgies et agapes, sans limite, ni scrupules.
Les autres participants ne devant arriver que dans la soirée, nous avons donc commencé à deux à graver dans le marbre la longue liste des pêchers capitaux qui allait s'établir et se répéter tout le long de ces deux jours.
Le deuxième invité arriva directement sur place après quelques désagréments routiers et sans attendre plus longtemps nous rejoignit dans l'action et ne tarda donc pas à ouvrir la bouche pour profiter des bienfaits de mère nature.
Les deux derniers participants qui arrivaient ensemble, eux aussi par la route, eurent moins de chance que le toulousain, puisqu'ils se retrouvèrent pris en otage sur l'autoroute ce qui rallongeât considérablement leur temps de route, nous obligeant à attendre pour nous lancer dans les pêchers extrêmes.
Cette expérience, ne les empêcha nullement d'arriver le sourire aux lèvres et sonna le début d'un week-end qui allait obliger les plus pratiquants à passer à confesse dès le début de semaine.
La nuit était claire, la température plus que clémente, les participants tous arrivés et visiblement enclin à se lancer dans l'expérience, nous pouvions donc passer aux choses sérieuses, ce qui fût fait sans attendre.
C'est le toulousain qui s'affaira le premier et qui chaud comme la braise perlait des efforts qu'il fournissait pour rassasier chacun jusqu'à satiété.
Après ce premier exercice de bonne chair qui emplit chacun de bien être, j'eus l'idée de proposer une chasse au petit ...
... mais lequel me direz-vous !
Car ils étaient deux à n'être point très grand !
Ben, vous z'avez qu'à lire pour savoir !
Cette idée convenait à tous et nous entamions une chasse qui se prolongeât jusqu'à épuisement (vers 4 heures du mat quand même).
L'excitation procurée par cet exercice fût tel que nous avons à chaque occasion possible renouveler ce jeu de vilain tous les cinq, ce qui obligea le petit à subir des assauts répétés.
Parfois, il trouvait un sauveur pour le protéger des autres, mais il lui arriva quelques fois de se faire prendre violemment ou même par surprise.
Afin d'éviter la monotonie et la routine, j'avais préparer quelques surprises pour varier les plaisirs.
C'est ainsi que j'obligeais la fine équipe à un rapprochement forcé pour leur faire découvrir les plaisirs de l'excès.
Je les emmenais dans les petites ruelles étroites, leur faisais découvrir quelques bâtiments antiques, les jardins de la cathédrale, où même encore les halles, tout ça pour exciter leurs sens et avoir le plaisir intense de pouvoir les surprendre et de sentir leur plaisir lorsqu'il leur fallut rallonger la liste des pêchers dans une cave où la fraicheur vivifiante contrastait avec la chaleur intense des précédents lieux qui avaient vu passer cette brochette de tapette.
Je les avais par perfidie obligé à plonger dans l'excès, ils se vengèrent en m'obligeant à me plonger dans la mer avec eux.
Mais, je n'avais pas dit mon dernier mot.
Je les emmenais donc à la terrasse d'un bar en bord de mer, où nous avons violenté le petit serveur (que j'aurais volontier occupé toute la nuit !) qui grâce à nous réalisait l'addition record de la saison (5 cocktails le record ! C'est vraiment la crise !).
Intermède pas musical du tout
J'avais tout fini ce post,
mais j'ai oublié d'enregistrer la fin
donc me faut tout recommencer !!!
Alors que nous levions nos verres pour célébrer ces moments hors du temps que nous partagions ensemble, une jeune fille qui ne l'était plus pour très longtemps, nous aborda et nous avons avec elle eut quelques fou-rires à ses dépens (je ne suis pas persuadé qu'elle a compris que les 5 playboys qui aspiraient dans les tiges plongées dans leur verre, eussent tiré autant de plaisir avec d'autres tiges ...).
Nous finîmes par céder à ses assauts et paraphions donc chacun notre tour sa pétition pour donner aux femmes le droit de pratiquer l'art du panpan-cucul sur les hommes, ce qui nous valut le droit de gagner chacun une pochette plastique spéciale pour quéquette raide qui veut faire pêcher de chair.
J'obligeais à nouveau la petite troupe à un rapprochement collé-serré afin de regagner l'antre où l'on avait tant pêcher, pour y pêcher encore et encore.
Entre pêcher de chair et chasse au petit qui subit multe fois encore la perversité de la brochette, le dimanche s'écoula jusqu'à ce que l'heure soit venue que les premiers nous quittent.
C'est donc la larme à l'oeil et le coeur serré que je laissais partir vers d'autres cieux tout aussi cléments mon Poussin chéri d'amour et son Homme.
Puis ce fut le tour de l'internationalement célèbre Tambour Major de prendre la route le lundi matin pour rejoindre sa ville rose.
Le dernier à me fendre le coeur fut Traileurfou que je laissais à la gare (un peu violemment, vu que je n'avais pas de monnaie pour l'horodateur et qu'alors que nous étions à la terrasse du café, je vis arriver le képi réprimandeur qui ne manquerait pas de m'aligner quelques instants plus tard) avant de rentrer à la maison qui est maintenant d'une tristesse à me plonger en pleine déprime.
Ce week-end, je l'ai attendu et cette attente m'a permis de passer bien plus facilement les quelques épreuves que la vie m'avait imposé en juin et juillet, et il fut au-delà de mes espérances.
Je n'avais nul doute sur le fait que les invités s'entendraient comme larrons en foire, ils ne leur fallut guère plus que quelques secondes pour donner l'impression qu'ils se connaissaient tous depuis des années, alors que j'étais le seul à les avoir tous pratiqué au moins une fois.
Bref, un week-end extraordinaire et mémorable, qui laissera à chacun d'impérissable souvenirs.
Merci de tout coeur à vous quatre qui m'avez fait un merveilleux cadeau en acceptant mon invitation et avez permis à chacun pendant ce week-end de prendre le temps de vivre, sans même voir le temps s'écouler.
J'espère qu'il nous sera possible de renouveler cette expérience qui restera l'un des plus beaux moments que le web m'aura permis de vivre.
-
Commentaires
@ L'Homme du Poussin
Comment que je suis trop fort !
J'ai encore réussi à te faire sortir de ton mutisme clavieriste
@ Bitchy :
Les commentaires sont, pour moi, l'occasion de découvrir et, parfois même de rencontrer, des lecteurs (ce qui a entre autre permis de pouvoir écrire ce post), je trouve donc dommage que tu te sois caché derrière un lien sans intérêt, mais je te souhaite la bienvenue sur cette planète.
Pour les fautes, même si je suis un fervent défendeur de la langue de Molière, je suis aussi un homme et donc faillible, par contre, je ne suis pas sur que toutes tes remarques soient totalement juste ...
@ Traileurfou, MonPoussin chéri d'amour et Tambour
Pour l'année prochaine, je prévois la découverte du département de l'autre côté de la route
6L'Homme du PoussinMercredi 22 Août 2012 à 16:26Cher Maxi, je prends enfin le clavier pour te remercier de ton chaleureux (et copieux!!!) accueil. Ce week end nous a permis de débuter royalement nos vacances estivales. Et le plaisir pour moi de rencontrer TM et Traileurfou (de quoi faire des jaloux dans la blogosphère). J'ai passé un très agréable (un peu court ?) moment. À une prochaine fois pour délirer sur les etymologies et autres interrogations essentielles comme le nombre d'habitants à P.C. chère à Traieurfou, par exemple... Et merci d'avoir contribué indirectement à mes premiers pas sur twitter (ça reste encore confidentiel, je suis encore derriere Justin Bieber et Gaga en terme de followers, mais je sais qu'ils s'inquiètent vivement). Et puis, pour dire la vérité, je préfère encore être derrière Bieber que Gaga!!! Ca peut servir...
Bises
Joli billet.
@ Pq : Cherche encore. J'en ai trouvé 9...
- ce qui me permis (permiT)
- sans limite, ni scrupules (soit il manque un s, soit il y en a un de trop)
- les participants tous arrivés et visiblement enclin (enclinS) à se lancer dans l'expérience
- Après ce premier exercice de bonne chair (chère)
- nous avons à chaque occasion possible renouveler (renouvelé) ce jeu de vilain
- j'avais préparer (préparé)
- fraicheur (fraÎcheur)
- Je les avais par perfidie obligé (obligés)
- nous avons avec elle eut (eu) quelques fou-rires
- multe (moult) fois
- j'étais le seul à les avoir tous pratiqué (pratiqués : COD placé avant le verbe avoir)
4PQLundi 13 Août 2012 à 19:25Il s'en passe des choses dès que j 'ai le dos tourné ....
Je suis content j'ai trouvé un faute d'orthographe chez toi c est tellement rare que je me dis que j'ai progressé a ton contact...
A la prochaine j espère
Un grand merci pour ton organisation millimétrée er tes agapes succulentes
Un énorme merci pour cette rencontre avec Tambour et traileurfou
Et un espoir que ce moment de complicité partagée soit le premier chapitre d'une grande histoire
Des bises1traileurfouMercredi 8 Août 2012 à 13:10Merci à toi Maxi pour ce week-end, une organisation tip top.
Merci pour ses heures passées à la vitesse de la lumière, il aurait fallu que le temps s'arrête.....mais on ne peut pas tout avoir.
Ajouter un commentaire
@ Glimpse :
Première étape, traverser l'écran pour que l'on fasse connaissance,
Deuxième étape, prévoir sac de couchage et/ou tente à mettre dans la jardin, car la maison n'est pas extensible, mais ce sera un plaisir d'agrandir la bande, plus on est de folle plus on rit