Ma dernière expérience au sun m'avait donné à réfléchir sur la puissance érotico-nirvanesque de mademoiselle ...

... bah ouai quoi !

Quand un mec éjacule en à peine 5 minutes de fellation qu'il te fait, tu te pose des questions ...

Je décidais donc de mener l'enquête !

Ok, ok, je suis en manque donc nous dirons que je décidais de joindre l'utile à l'agréable !

Ca vous va dit comme ça ?

Alors que le potentiel est mathématiquement plus élevé à Paris qu'en province, il s'avère que les opportunités sont plus fréquentes ici !

Cela provient surement du fait que les bitterois osent plus que les parisiens, mais aussi du fait que je suis surement moins regardant ...

Bref, je commençais mon enquête par une soirée dans le seul bar gay de Béziers où je suis maintenant connu comme le loup blanc (il s'agit là de l'expression et non d'un comparatif de popularité dans la région sud avec le célèbre animal de l'est rodant dans la blogosphère ...).

Pas de chance, ce soir là, peu de monde ...

Néanmoins, je fus abordé cavalièrement (quand on te caresse la cuisse discrètement, ce n'est pas de la dentelle ! Hein !) par un monsieur ...

Les caresses étaient très agréables, alors même si le propriétaire de la main officiant sur ma cuisse n'était pas à mon gout, je laissais faire.

Après tout, ça n'allait tuer personne et je pourrais me vanter plus tard d'avoir fait ma BA de l'année ...

C'était sans compter sur mon pouvoir d'attraction ...

Au moment de partir, le monsieur me proposait carrément un plan cul !

Je lui précisais gentiment que du fait de ma mission d'enquête, il ne pourrait que me sucer (ben quoi ! J'allais pas lui dire que vu qu'il n'était pas à mon goût, mademoiselle ne pourrait jamais être assez vigoureuse pour ne pas jouer le roseau à l'entrée des artistes !) ...

Me voilà donc dans son appartement ...

Je vous passe les détails pour en arriver au moment où, lui en slip et moi mademoiselle sortie en extension profitant de ses caresses d'une douceur extrême, j'ai pu constater qu'avant même qu'il n'ouvre la bouche, son slip montrait par l'étalement d'une zone d'humidité que mademoiselle avait en effet un pouvoir de faire éjaculer rapidement qui s'amusait avec.

Celà ne l’empêchât pas de se mettre au travail avant de m'annoncer 20 minutes plus tard, qu'il était épuisé et que je pouvais remballer mon matos et rentrer.

Il semblait donc évident que mes doutes étaient apparemment fondés et que mademoiselle est bien investi d'un pouvoir suprême !

Comme tout bon enquêteur déontologiquement bien conçu, je décidais de pousser plus encore mes investigations pour m'assurer d'une conclusion d'étude irréprochable (Bon, d'accord ! J'ai une putain d'envie de .... Comprenez-moi aussi ! Ca monte, ça monte, et ça redescend ! A un moment ça gonfle ! Faudrait quand même que ça finisse par sortir ! Hein !).

Je me rendis donc sur une aire de stationnement bien connue dans le coin, pour les activités périscolaires qui se déroulent dans les bois attenants ...

A peine avais-je atteint une zone reculée et tranquille qu'un monsieur s'approchait déjà et se lança à me caresser l'entrejambe.

Vu que pour les besoins de l'étude (ok, ok, et pour mon plaisir personnel aussi) ...

je le laissais faire ...

il fit prendre l'air à mademoiselle et commença à me branler délicatement.

Un autre monsieur par la testostérone alléché arriva et tout en harmonie avec le premier me caressait les roubignoles avec beaucoup de douceur ...

Il n'est pas nécessaire de préciser que ces messieurs avaient chacun leurs attributs masculins exposés au vent, ni que leurs mâts bien dressés ne pliaient pas sous les bourrasques.

Arriva un troisième larron, qui évinça les deux premiers et qui goulument se mis à me sucer.

Qui va à la chasse perd sa place, le deuxième arrivé rangea son attirail et se tira, le premier lui devenait spectateur et s'astiquait au rythme de la bouche du troisième sur mademoiselle.

Une fois de plus la théorie s’avéra réaliste puisque le 3ème larron qui se caressait légèrement en même temps qu'il officiait avec la bouche sur mademoiselle, se fendit assez rapidement d'une petite mort (vu la quantité minimaliste de lave crachée par son Vésuve, il devait déjà avoir à plusieurs occasions tiré sur la corde ce jour là !).

De concert, ils rangèrent leurs matos et me laissaient là sans rien dire !

33 % de réussite pour les pouvoirs de Mademoiselle, ce n'est pas si mal, mais pas assez performant pour une conclusion scientifique !

Il me fallait donc à nouveau tester ma théorie ...

Au cas, où tu ne l'aurais pas remarqué, je te signale que comme il y a eu un changement dans la programmation, je ne fais aucune allusion à ce qui c'est passé après, mais que tu sais déjà de quoi il en retourne ...

Oui, tu peux me féliciter pour mon professionnalisme journalistique ...

Pour mon dernier essai, je décidais d'utiliser comme laboratoire d'essai l'établissement de Marcel.

Je ne t'ai pas encore parlé de Marcel ?

T'inquiètes pas ça viendra !

Mais quel suspens quand même ...

Je me baladais donc dans les couloirs plus ou moins sombres de cet établissement bitterois, lorsque je fut caressé inopinément par les mains douces et expertes d'un garçon au corps lisse comme une peau de bébé.

Certes, nous n'étions pas à l'abri des regards à l'intérieur d'une cabine, mais la zone était assez tranquille et sombre pour garder l’anonymat.

Très rapidement le garçon se débrouilla pour faire tomber ma serviette et se penchait pour me prodiguer ce que l'on nomme par discrétion une gâterie et je dois bien avouer que "Putain il est doué pour ça" !

Le garçon ayant envie de jouer, il se redressait pour me couvrir de caresses et j'en profitai pour découvrir ce qui se cachait derrière sa serviette.

Les dieux auxquels je ne crois pas sont avec moi, il a un modèle dont la taille est proche de la perfection virussienne et de plus elle est aussi douce au toucher que le reste de son corps, je ne pu donc m'empêcher de faire une plongée en apnée.

Point trop n'en faut, il m'oblige à me redresser pour reprendre son tête à tête avec mademoiselle ...

C'est à ce moment là que je me suis rendu compte que l'endroit était maintenant peuplé de quelques spécimens supplémentaires.

Notamment un, qui semblait me reluquer avec envie, mais avec lequel mon regard n'était attiré que par son entrejambe à la longueur inimaginable par un esprit normal, vu qu'il devait probablement marcher dessus à chaque fois qu'il avançait le pied du côté où il la range !

Non, non, mon regard n'appelait pas à l'envie de nouveauté, mais plutôt à l'angoisse de savoir où, il avait l'intention de la garer !

Une chose est sûre, même pas en rêve tu te gare derrière moi !

Mon donateur d'ondes de plaisir qui me venait de l'entrejambe, aperçu le tuyau qui trainait presque parterre et tout en continuant d’œuvrer pour moi, positionna son postérieur devant éléphant-man, histoire de lui proposer de l'héberger ...

Tout se passait bien, je continuai à profiter et j'étais totalement rassuré sur la destination du boa constrictor, qui commençait son investigation dans le corps de ce garçon à la peau si douce.

Mais (oui, encore et toujours lui !) ...

... c'était sans compter sur la nature humaine, enfin la physiologie humaine plutôt ...

parce que quand le machin qui a  besoin d'un palan pour pas tremper dans les chiottes quand il pisse a commencé à entrer suffisamment loin, le peau lisse a du se redresser pour que ça passe et finisse par lui chatouiller les amygdales !

Même si le Virus a un corps divin dont vous rêvez tous, il n'en reste pas moins trop court sur patte pour hisser son entrejambe assez haut pour tenter de faire ressortir le reptile par l'autre côté de la tanière.

Il me fallut donc laisser le zoologue et son animal de compagnie du moment, sans avoir pu tirer de conclusion scientifique relative à mon enquête.

Il va donc falloir que de nouveau, je me mette en quête de cobayes pour vérifier ma théorie.

Des volontaires ???